Une espion en quête d'infos dans le pays des Marchanventrus

Premier jour
J'avais finalment trouvé une caravanne qui m'amennerais en direction du pays des Marchanventrus. Tout étais en bon ordre, les voyageurs avais aquité la somme pour le voyage et le caravanier avait monter tous les bagages, et bien, sans poser de questions.
Je prenais route avec eux, parmis les chuchottements, les rires de gens qui retournaient enfin chez eux et des pleures d'enfants fatigués. Les premières heures furent longues et, mafois, je crois m'être endormi 2 ou3 fois.

En approchant de ce que je pourrais qualifier de "murs" de champs complètement jaune, une dame, ma voisine de siège, femme d'un âge que l'on ne pourait qualifier ( à la fois jeune et ayant de subtils traits d'un âge plus avancé ) brise ma létargie en commençant à m'entretenir de tout et de rien. Elle revenait chez elle, à Ronto la ville ou le carevannier s'arrêtais. "Return To Ronto" comme elle m'as disait dans sa langue. Elle étais partie pour voir sa fille et sont petit-fils ... Quel effet bizarre ça fait de voir une demoiselle qui n'a pas l'air d'avoir plus d'une trentaine de printemps vous dire qu'elle a des petits enfants. Je la questionnai donc sur le sujet. Il n'y a pas que les terres de Glengary qui sont recherchées pour leurs caractères magiques, car elle m'a raconté son voyage en terres lointaines ou se trouvent une fontaine de jouvence. Un endroit aussi difficile à trouver qu'aller vers l'ouest. Et comme de fait elle s'est retrouver à la fontaine comme on tombe dans l'ouest, complètement par hasard.

Arrivé à Ronto, nous nous sommes séparés, elle pour sa demeure et moi pour trouver ma prochaine caravanne.

À suivre...

Ronto

Ronto, Ronto, Ronto,... Ahhh cette ville de gens soupçonneux. Les gens sont tellement méfiants qu'il est impossible de les arnaquer et très difficile d'essayer de les convaincre de vous donner du travail. Il m'était indispensable de me trouver de l'argent pour le reste de mon périple. Les caravanes ne se font pas payer peu cher vous savez. Heureusement, étant une personne débrouillarde, charmante et plus que convaincante, je réussi à me trouver un peu de travail au bout d'une semaine et demi. Incarnant le rôle un jeune garçon plein de volonté, je me fis valet d'écuries pour une grande maison. La méfiance de ces gens fut une joie pour mon intimité par la suite; Je dormais avec les chevaux.

Au bout de 3 semaines, je réussi à me faire un assez bon butin avec mon salaire et mes tips (sans parler de ce que je trouvai dans les carrioles) pour repartir. La caravane, cette fois-ci fut plus que facile à trouver; le commerce avec le pays des Marchanventrus , à cet endroit, y est régulier.

Prochain arrêt : Xénox-à-l'eau